• Mes chers concitoyens : Je me présente devant vous aujourd'hui en toute humilité face à la tâche qui nous attend, reconnaissant de la confiance que vous m'avez accordée et conscient des sacrifices consentis par nos ancêtres. Je remercie le président Bush des services rendus à notre nation, ainsi que de la générosité et de la coopération dont il a fait preuve durant toute la transition. Quarante-quatre Américains ont désormais fait ce serment présidentiel. Ces mots ont été souvent prononcés dans la marée montante de la prospérité et dans les eaux calmes de la paix. Mais il est arrivé que ce serment ait été prononcé alors que le temps était orageux et que la tempête faisait rage. En ces moments-là, l'Amérique a persévéré non seulement du fait des compétences et de la perspicacité de ses dirigeants, mais parce que nous, le Peuple, sommes demeurés loyaux envers les idéaux de nos ancêtres et envers les documents fondateurs de notre nation. Il en a été ainsi. Et il doit en être ainsi pour cette génération d'Américains. Le fait que nous traversons une crise est désormais bien compris. Notre pays est en guerre contre un réseau tentaculaire de violence et de haine. Notre économie est gravement affaiblie, conséquence de la cupidité et de l'irresponsabilité de certains, mais aussi de notre incapacité collective de faire les choix difficiles et de préparer notre nation à une nouvelle donne. Des domiciles ont été perdus ; des emplois ont été éliminés ; des entreprises ont été brisées. Notre système de santé est trop coûteux ; nos écoles mènent trop souvent à l'échec ; et chaque jour amène de nouvelles preuves que la façon dont nous utilisons l'énergie renforce nos adversaires et menace notre planète. Ce sont là des indices de crise qui se prêtent aux analyses de données et aux statistiques. Moins mesurable mais tout aussi profonde est la perte de confiance qui sévit dans tout le pays – une peur tenace que le déclin de l'Amérique soit inévitable et que la prochaine génération doive revoir ses ambitions à la baisse. Aujourd'hui, je vous dis que les défis que nous devons relever sont réels. Ils sont graves et ils sont nombreux. Ils ne seront pas faciles à relever, et cela ne pourra pas se faire rapidement. Mais sachez-le bien, Amérique, nous les relèverons. Nous sommes assemblés en ce jour parce que nous avons choisi de faire triompher l'espoir sur la peur, et l'unité de notre dessein sur le conflit et la discorde. Nous sommes venus en ce jour proclamer la fin des mesquineries, des fausses promesses, de la récrimination et des dogmes dépassés qui étranglent notre vie politique depuis trop longtemps. Nous demeurons une jeune nation, mais comme il est dit dans les Écritures, il est temps de dépasser les enfantillages. Il est temps de réaffirmer notre ténacité ; de choisir ce qu'il y a de mieux dans notre histoire ; de préserver ce don précieux, cette noble idée transmise de génération en génération : la promesse divine que nous sommes tous égaux, que nous sommes tous libres, et que nous méritons tous la chance de poursuivre la pleine mesure du bonheur. En réaffirmant la grandeur de notre nation, nous comprenons que cette grandeur n'est jamais un dû. Il faut la mériter. Notre trajectoire n'a jamais reposé sur des raccourcis ou sur l'acceptation de moindres biens. La voie que nous avons empruntée n'a jamais été pour les craintifs – pour ceux qui préfèrent le loisir au travail, qui ne recherchent que le plaisir de la richesse et de la célébrité. Elle est plutôt pour ceux qui prennent des risques, qui agissent, qui fabriquent des choses – certains sont célèbres mais, le plus souvent, ce sont les hommes et les femmes qui travaillent dans l'ombre qui nous ont entraînés le long du chemin ardu qui mène vers la prospérité et la liberté. Pour nous, ils ont emballé leurs maigres possessions et ont traversé des océans à la recherche d'une nouvelle vie. Pour nous, ils ont peiné dans des ateliers de misère et colonisé l'Ouest ; ils ont enduré la morsure du fouet et labouré la terre dure. Pour nous, ils se sont battus et sont tombés sur divers champs de bataille, à Concord et à Gettysburg, en Normandie et à Khe-Sahn. Encore et encore, ces hommes et ces femmes ont lutté, se sont sacrifiés et ont travaillé à s'écorcher les mains, afin que nous ayons une meilleure vie. Ils savaient que l'Amérique était plus grande que la somme de leurs ambitions individuelles ; plus grande que les différences de naissance, de richesse ou de faction. C'est sur cette trajectoire que nous continuons aujourd'hui. Nous demeurons une nation prospère et puissante dans le monde. Nos travailleurs ne sont pas moins productifs que lorsque cette crise a commencé. Nos cerveaux ne sont pas moins créatifs, nos biens et services ne sont pas moins nécessaires qu'ils ne l'étaient la semaine dernière, le mois dernier ou l'année dernière. Notre capacité demeure intacte. Mais le temps de rester inactif, de protéger des intérêts étroits et de repousser des décisions déplaisantes est définitivement révolu. À partir d'aujourd'hui, nous devons nous relever, secouer la poussière de nos sandales et nous atteler à la reconstruction de l'Amérique. En effet, partout où nous regardons, il y a du travail à faire. L'état de notre économie exige des actions audacieuses et rapides, et nous agirons – non seulement pour créer des emplois, mais pour poser une nouvelle fondation de la croissance. Nous construirons des routes et des ponts, et installerons des réseaux électriques et des lignes numériques qui alimenteront notre commerce et nous relieront les uns aux autres. Nous replacerons la science à sa juste place, et nous nous servirons des merveilles de la technologie pour améliorer la qualité des soins médicaux tout en en réduisant les coûts. Nous exploiterons le soleil, le vent et les sols pour alimenter nos voitures et faire marcher nos usines. Et nous transformerons nos écoles, nos collèges et nos universités de façon à répondre aux exigences d'une nouvelle ère. Tout cela, nous pouvons le faire. Tout cela, nous le ferons. Maintenant, il y a ceux qui remettent en question l'étendue de nos ambitions – qui estiment que notre système n'est pas en mesure de tolérer trop de grands projets. Leur mémoire est courte. Car ils ont oublié ce que ce pays a déjà accompli ; ce que des hommes et des femmes libres peuvent faire quand l'imagination se marie à un objectif commun, et la nécessité au courage. Ce que les cyniques ne comprennent pas, c'est que le terrain sous leurs pieds a glissé – que les arguments politiques dépassés qui nous ont dévorés pendant trop longtemps ne sont plus valables. La question que nous posons aujourd'hui n'est pas de savoir si notre gouvernement est trop grand ou trop petit – mais s'il peut aider les ménages à trouver un emploi convenablement rémunéré, des soins médicaux qu'ils peuvent se payer, et une retraite qu'ils vivront dans la dignité. Là où la réponse sera oui, nous avons l'intention de continuer. Là où la réponse sera non, les programmes en question seront supprimés. Et ceux d'entre nous qui gèrent les fonds publics seront tenus responsables de leurs actions – dépenser avec sagesse, réformer les mauvaises habitudes, et œuvrer dans la transparence – parce que c'est seulement ainsi que nous pourrons rétablir la confiance vitale entre un peuple et son gouvernement. Et la question devant nous n'est pas non plus de savoir si les marchés financiers sont une force de bien ou de mal. Leur pouvoir de générer des richesses et de répandre la liberté est sans pareil, mais cette crise nous a rappelé que, sans un œil vigilant, les marchés peuvent perdre pied – et qu'une nation ne peut pas prospérer pendant longtemps si elle favorise uniquement ses membres déjà prospères. La réussite de notre économie a toujours dépendu non seulement du niveau de notre produit intérieur brut, mais aussi de l'étendue de notre prospérité ; de notre habileté à étendre cette chance à toutes les personnes de bonne volonté – non pas par charité mais parce qu'il s'agit là du moyen le plus sûr de parvenir au bien commun. Concernant notre défense commune, nous rejetons comme faux le choix entre notre sécurité et nos idéaux. Nos Pères fondateurs, face à des dangers que nous pouvons à peine imaginer, rédigèrent une charte qui garantit la primauté du droit et les droits de chaque être humain, une charte renforcée depuis par le sang des générations. Ces idéaux éclairent encore le monde, et nous ne les abandonnerons pas par opportunisme. Ainsi donc, à tous les peuples et gouvernements qui nous regardent aujourd'hui, des plus grandes capitales au petit village natal de mon père : sachez que l'Amérique est l'amie de chaque nation et de chaque homme, femme et enfant qui aspirent à un avenir de paix et de dignité, et que nous sommes prêts, de nouveau, à assumer notre rôle dirigeant. Rappelez-vous que les générations précédentes ont combattu le fascisme et le communisme au moyen non seulement de missiles et de chars, mais aussi d'alliances solides et de principes durables. Elles avaient compris que notre puissance à elle seule ne pouvait nous protéger et ne nous donnait pas non plus le droit de faire tout ce que nous voulions. Ces générations savaient, en revanche, que notre puissance ne pouvait que croître quand nous nous en servions prudemment ; que notre sécurité provenait de la justesse de notre cause, de la force de notre exemple, et des qualités modératrices d'humilité et de retenue. Nous sommes les gardiens de cet héritage. Guidés, une fois de plus, par ces principes, nous pouvons affronter toutes ces nouvelles menaces qui exigent un effort encore plus important – une coopération et une entente renforcée entre pays. Nous commencerons par laisser l'Irak à son peuple, en nous y prenant de manière responsable, et par établir une paix durement remportée en Afghanistan. De concert avec de vieux amis et d'anciens ennemis, nous œuvrerons sans relâche à réduire la menace nucléaire et à éloigner le spectre du réchauffement de la planète. Nous ne nous excuserons pas de notre mode de vie, de même que nous ne vacillerons pas dans sa défense, et à ceux qui cherchent à parvenir à leurs objectifs en semant la terreur et en massacrant des innocents, nous disons aujourd'hui : notre esprit est plus fort et ne peut être brisé ; vous ne pourrez pas l'emporter à l'usure, et nous vous vaincrons. Car nous savons que nos origines hétéroclites constituent une force et non une faiblesse. Nous sommes une nation de chrétiens, de musulmans, de juifs et d'hindous – ainsi que de non-croyants. Nous sommes façonnés par toutes les langues et toutes les cultures, originaires de tous les coins du monde ; et parce que nous avons goûté à la lie amère de la guerre civile et de la ségrégation, et que nous sommes sortis de ce sombre chapitre renforcés et encore plus unis, nous ne pouvons qu'être convaincus du fait que les vieilles rancunes disparaîtront un jour ; que les divisions tribales seront bientôt dissoutes ; qu'au fur et à mesure que le monde deviendra plus petit, notre humanité commune se révélera au grand jour ; et que l'Amérique doit jouer le rôle qui est le sien pour assurer l'avènement d'une nouvelle ère de paix. Au monde musulman : nous cherchons une nouvelle façon d'avancer, fondée sur les intérêts communs et sur le respect mutuel. Aux dirigeants de par le monde qui cherchez à semer le conflit ou à faire porter à l'Occident les maux de votre société : sachez que votre peuple vous jugera selon ce que vous aurez bâti et non pas selon ce que vous aurez détruit. À ceux qui s'accrochent au pouvoir par la corruption et le mensonge et qui étouffent la dissension : sachez que vous êtes du mauvais côté de l'histoire ; mais nous vous tendrons la main si vous êtes disposés à desserrer votre poing. Aux peuples des nations pauvres : nous promettons de travailler avec vous à faire prospérer vos fermes et couler des eaux limpides ; à nourrir les corps décharnés et les esprits affamés. Enfin, aux pays qui, comme le nôtre, jouissent d'une relative abondance, nous disons que nous ne pouvons plus nous permettre l'indifférence face à la souffrance extérieure, ni consommer les ressources de la terre sans égard aux conséquences. Car le monde a changé, et nous devons changer avec lui. En contemplant la route qui s'ouvre devant nous, avec humilité nous adressons une pensée reconnaissante aux courageux Américains qui, à cette heure précise, patrouille dans des déserts et des montagnes lointains. Ils ont quelque chose à nous dire aujourd'hui, tout comme nos héros disparus, qui reposent à Arlington et nous murmurent à travers les âges. Nous les honorons, non pas seulement parce qu'ils sont les gardiens de notre liberté, mais aussi parce qu'ils incarnent la volonté de servir, une disposition à trouver un sens dans une chose qui les dépasse. Et pourtant, en ce moment même – en ce moment qui va définir une génération – c'est précisément cet esprit qui doit nous habiter. Car pour tout ce que le gouvernement peut et doit faire, c'est en fin de compte sur la foi et la détermination du peuple américain que notre pays s'appuie. C'est la gentillesse d'accueillir l'étranger quand la digue se rompt, c'est la générosité du travailleur qui préférerait réduire ses heures plutôt que de voir un ami perdre son emploi, qui nous font traverser nos heures les plus sombres. C'est le courage dont fait preuve le pompier quand il s'engouffre dans un escalier enfumé, mais c'est aussi la volonté d'un parent d'élever un enfant, qui finalement déterminent notre destin. Nos défis peuvent être nouveaux, tout comme les instruments au moyen desquels nous les relevons. Mais les valeurs dont notre succès dépend – le travail acharné et l'honnêteté, le courage et le fair-play, la tolérance et la curiosité, la loyauté et le patriotisme- , ces valeurs-là sont anciennes. Elles sont vraies. Elles constituent la force tranquille du progrès depuis le début de notre histoire. Ce qui s'impose, maintenant, c'est un retour à ces vérités. Ce qu'il nous faut aujourd'hui, c'est une nouvelle ère de responsabilité, la reconnaissance de la part de chaque Américain que nous avons des devoirs envers nous-mêmes, la nation et le monde, des devoirs que, loin d'accepter à contrecœur, nous assumons avec joie, forts de notre conviction qu'il n'est rien de plus satisfaisant pour l'esprit ni de plus propre à notre caractère que de nous donner entièrement à une tâche difficile. Tels sont le prix et la promesse de notre citoyenneté. Telle est la source de notre confiance : la certitude que Dieu nous appelle à façonner un destin incertain. Tel est le sens de notre liberté et de notre credo, la raison pour laquelle des hommes, des femmes et des enfants de toute race et de toute foi peuvent s'unir joyeusement sur cette magnifique esplanade, et qu'un homme dont le père, il y a moins de soixante ans, n'aurait peut-être pas été servi dans un restaurant local peut aujourd'hui se tenir debout devant vous pour prononcer le serment le plus sacré. Aussi, marquons ce jour du souvenir de qui nous sommes et de la distance que nous avons parcourue. L'année de la naissance de notre pays, au plus froid de l'hiver, une petite bande de patriotes s'était serrée autour de feux de camps mourants, sur les rives d'un cours d'eau glacé. On avait abandonné la capitale. La neige était maculée de sang. Et c'est à l'heure où l'issue de notre révolution était le plus incertaine que le père de notre nation ordonna que les paroles suivantes fussent lues à la population : « Qu'il soit dit au monde à venir (...) qu'au plus profond de l'hiver, alors que rien ne pouvait survivre hormis l'espoir et la vertu, que cette ville et ce pays, alertés par un danger commun, se levèrent à sa rencontre. » Chers concitoyens, face aux dangers communs, en cet hiver de rigueur, rappelons-nous ces mots intemporels. Avec espoir et vertu, bravons une fois de plus les courants glacés et endurons les orages à venir, afin que les enfants de nos enfants puissent dire de nous qu'au moment de l'épreuve nous avons refusé d'abandonner la route, nous n'avons ni reculé ni fléchi et, les yeux fixés sur l'horizon et forts de la grâce de Dieu, nous avons porté ce grand don de la liberté et l'avons transmis, sain et sauf, aux générations futures.

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  • A l'invitation de Sa Majesté la Reine Béatrix des Pays-Bas, Son Excellence, le Docteur Boni YAYI, Président de la République du Bénin, Chef de l'Etat, Chef du Gouvernement effectuera une visite de travail aux Pays-Bas du 20 au 24 janvier 2009. Cette visite du Chef de l'Etat vise le renforcement de la coopération dans tous les domaines entre le Bénin et les Pays-Bas. Outre les entretiens avec les autorités politiques néerlandaises, le Chef de l'Etat aura des rencontres avec les opérateurs économiques néerlandais et des responsables de firmes spécialisées dans les domaines économique, commercial et scientifique dont ceux de la lutte contre l'érosion côtière et la gestion portuaire.

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  • «Chers compatriotes Je suis ici devant vous aujourd'hui empli d'un sentiment d'humilité face à la tâche qui nous attend, reconnaissant pour la confiance que vous m'avez témoignée et conscient des sacrifices consentis par nos ancêtres. Je remercie le président Bush pour ses services rendus à la nation ainsi que pour la générosité et la coopération dont il a fait preuve tout au long de cette passation de pouvoirs. Quarante-quatre Américains ont maintenant prêté le serment présidentiel. Ils l'ont fait alors que gonflait la houle de la prospérité sur les eaux calmes de la paix. Mais il arrive de temps à autre que ce serment soit prononcé alors que s'accumulent les nuages et que gronde la tempête. Dans ces moments, l'Amérique a gardé le cap, non seulement en raison de l'habileté ou de la vision de ses dirigeants, mais aussi parce que Nous le Peuple, sommes demeurés fidèles aux idéaux de nos ancêtres et à notre constitution. Ainsi en a-t-il toujours été. Ainsi doit-il en être pour la présente génération d'Américains. «Notre nation est en guerre» Nul n'ignore que nous sommes au beau milieu d'une crise. Notre nation est en guerre contre un vaste réseau de violence et de haine. Notre économie est gravement affaiblie, conséquence de la cupidité et de l'irresponsabilité de certains, mais aussi de notre échec collectif à faire des choix difficiles et à préparer la nation à une nouvelle ère. Des gens ont perdu leur maison ou leur emploi, des entreprises ont dû fermer leurs portes. Notre système de santé coûte trop cher. Nos écoles laissent tomber trop d'enfants et chaque jour apporte de nouvelles preuves que la façon dont nous utilisons l'énergie renforce nos adversaires et menace notre planète. Ce sont les signes de la crise en termes statistiques. Mais, si elle n'est pas aussi tangible, la perte de confiance dans tout le pays n'en est pas moins profonde, nourrie de la crainte tenace que le déclin de l'Amérique soit inévitable et que la prochaine génération doive diminuer ses ambitions. Je vous dis aujourd'hui que les défis auxquels nous faisons face sont réels. Ils sont importants et nombreux. Nous ne pourrons les relever facilement ni rapidement. Mais, sache le, Amérique, nous les relèverons. En ce jour, nous sommes réunis car nous avons préféré l'espoir à la peur, la volonté d'agir en commun au conflit et à la discorde. En ce jour nous proclamons la fin des doléances mesquines et des fausses promesses, des récriminations et des dogmes éculés qui ont pendant trop longtemps étouffé notre vie politique. «Tous égaux, tous libres» Nous demeurons une jeune nation. Mais pour reprendre les mots de la Bible, le temps est venu de se défaire des enfantillages. Le temps est venu de réaffirmer la force de notre caractère, de choisir la meilleure part de notre histoire, de porter ce précieux don, cette noble idée transmise de génération en génération: la promesse de Dieu que nous sommes tous égaux, tous libres et que nous méritons tous la chance de prétendre à une pleine mesure de bonheur. Nous réaffirmons la grandeur de notre nation en sachant que la grandeur n'est jamais donnée mais se mérite. Dans notre périple nous n'avons jamais emprunté de raccourcis et ne nous sommes jamais contentés de peu. Cela n'a jamais été un parcours pour les craintifs, ceux qui préfèrent les loisirs au travail ou ne recherchent que la richesse ou la célébrité. Au contraire, ce sont plutôt ceux qui ont pris des risques, qui ont agi et réalisé des choses - certains connus, mais le plus souvent des hommes et des femmes anonymes - qui nous ont permis de gravir le long et rude chemin vers la prospérité et la liberté. Pour nous, ils ont rassemblé leurs maigres possessions et traversé des océans en quête d'une vie nouvelle. Pour nous, ils ont trimé dans des ateliers de misère et colonisé l'Ouest. Ils ont connu la morsure du fouet et la dureté du labeur de la terre. Pour nous, ils se sont battus et sont morts dans des lieux comme Concord et Gettysburg, en Normandie ou à Khe-Sanh (Vietnam, ndlr). A maintes reprises ces hommes et ces femmes se sont battus, se sont sacrifiés, ont travaillé à s'en user les mains afin que nous puissions mener une vie meilleure. Ils voyaient en l'Amérique quelque chose de plus grand que la somme de leurs ambitions personnelles, que toutes les différences dues à la naissance, la richesse ou l'appartenance à une faction. C'est la voie que nous poursuivons aujourd'hui. Nous demeurons la nation la plus prospère, la plus puissante de la Terre. Nos travailleurs ne sont pas moins productifs qu'au début de la crise. Nos esprits ne sont pas moins inventifs, nos biens et services pas moins demandés que la semaine dernière, le mois dernier ou l'an dernier. Nos capacités demeurent intactes. Mais il est bien fini le temps de l'immobilisme, de la protection d'intérêts étroits et du report des décisions désagréables. «Reprendre la tâche de la refondation de l'Amérique» A partir d'aujourd'hui, nous devons nous relever, nous épousseter et reprendre la tâche de la refondation de l'Amérique. Où que nous regardions, il y a du travail. L'état de l'économie réclame des gestes audacieux et rapides. Et nous agirons - non seulement pour créer de nouveaux emplois mais pour jeter les fondations d'une nouvelle croissance. Nous allons construire les routes et les ponts, les réseaux électriques et numériques qui alimentent notre commerce et nous unissent. Nous redonnerons à la science la place qu'elle mérite et utiliserons les merveilles de la technologie pour accroître la qualité des soins de santé et diminuer leur coût. Nous dompterons le soleil, le vent et le sol pour faire avancer nos automobiles et tourner nos usines. Nous transformerons nos écoles et nos universités pour répondre aux exigences d'une ère nouvelle. Nous pouvons faire tout cela et nous le ferons. Cela dit, il y a des gens pour s'interroger sur l'ampleur de nos ambitions, et suggérer que notre système n'est pas capable de faire face à trop de grands projets à la fois. Ils ont la mémoire courte. Ils ont oublié ce que ce pays a déjà accompli, ce que des hommes et des femmes libres peuvent réaliser quand l'imagination sert un objectif commun et que le courage s'allie à la nécessité. Ce que les cyniques ne peuvent pas comprendre, c'est que le sol s'est dérobé sous leurs pieds et que les arguments politiques rancis auxquels nous avons eu droit depuis si longtemps, ne valent plus rien. La question aujourd'hui n'est pas de savoir si notre gouvernement est trop gros ou trop petit, mais s'il fonctionne - s'il aide les familles à trouver des emplois avec un salaire décent, à accéder à des soins qu'ils peuvent se permettre et à une retraite digne. Là où la réponse à cette question est oui, nous continuerons. Là où la réponse est non, nous mettrons un terme à des programmes. Et ceux d'entre nous qui gèrent les deniers publics seront tenus de dépenser avec sagesse, de changer les mauvaises habitudes, de gérer en pleine lumière - c'est seulement ainsi que nous pourrons restaurer l'indispensable confiance entre un peuple et son gouvernement. «Le marché peut devenir incontrôlable» La question n'est pas non plus de savoir si le marché est une force du bien ou du mal. Sa capacité à générer de la richesse et à étendre la liberté est sans égale. Mais cette crise nous a rappelé que sans surveillance, le marché peut devenir incontrôlable, et qu'une nation ne peut prospérer longtemps si elle ne favorise que les plus nantis. Le succès de notre économie n'est pas uniquement fonction de la taille de notre produit intérieur brut. Il dépend aussi de l'étendue de notre prospérité, de notre capacité à donner une chance à ceux qui le veulent - non par charité mais parce que c'est la meilleure voie vers le bien commun. En ce qui concerne notre défense à tous, nous rejettons l'idée qu'il faille faire un choix entre notre sécurité et nos idéaux. Nos Pères fondateurs, face à des périls que nous ne pouvons que difficilement imaginer, ont mis au point une charte pour assurer la prééminence de la loi et les droits de l'Homme, une charte prolongée par le sang de générations. Ces idéaux éclairent toujours le monde, et nous ne les abandonnerons pas par commodité. A tous les peuples et les gouvernants qui nous regardent aujourd'hui, depuis les plus grandes capitales jusqu'au petit village où mon père est né (au Kenya, ndlr): sachez que l'Amérique est l'amie de chaque pays et de chaque homme, femme et enfant qui recherche un avenir de paix et de dignité, et que nous sommes prêts à nouveau à jouer notre rôle dirigeant. Rappelez-vous que les précédentes générations ont fait face au fascisme et au communisme pas seulement avec des missiles et des chars, mais avec des alliances solides et des convictions durables. Elles ont compris que notre puissance ne suffit pas à elle seule à nous protéger et qu'elle ne nous permet pas d'agir à notre guise. Au lieu de cela, elles ont compris que notre puissance croît lorsqu'on en use prudemment; que notre sécurité découle de la justesse de notre cause, la force de notre exemple et des qualités modératrices de l'humilité et de la retenue. Nous sommes les gardiens de cet héritage. Une fois de plus guidés par ces principes, nous pouvons répondre à ces nouvelles menaces qui demandent un effort encore plus grand, une coopération et une compréhension plus grande entre les pays. «Réduire la menace nucléaire» Nous allons commencer à laisser l'Irak à son peuple de façon responsable et forger une paix durement gagnée en Afghanistan. Avec de vieux amis et d'anciens ennemis, nous allons travailler inlassablement pour réduire la menace nucléaire et faire reculer le spectre du réchauffement de la planète. Nous n'allons pas nous excuser pour notre façon de vivre, ni hésiter à la défendre, et pour ceux qui veulent faire avancer leurs objectifs en créant la terreur et en massacrant des innocents, nous vous disons maintenant que notre résolution est plus forte et ne peut pas être brisée; vous ne pouvez pas nous survivre et nous vous vaincrons. Nous savons que notre héritage multiple est une force, pas une faiblesse. Nous sommes un pays de chrétiens et de musulmans, de juifs et d'hindous, et d'athées. Nous avons été formés par chaque langue et civilisation, venues de tous les coins de la Terre. Et parce que nous avons goûté à l'amertume d'une guerre de Sécession et de la ségrégation (raciale), et émergé de ce chapitre plus forts et plus unis, nous ne pouvons pas nous empêcher de croire que les vieilles haines vont un jour disparaître, que les frontières tribales vont se dissoudre, que pendant que le monde devient plus petit, notre humanité commune doit se révéler, et que les Etats-Unis doivent jouer leur rôle en donnant l'élan d'une nouvelle ère de paix. Au monde musulman: nous voulons trouver une nouvelle approche, fondée sur l'intérêt et le respect mutuels. A ceux parmi les dirigeants du monde qui cherchent à semer la guerre, ou faire reposer la faute des maux de leur société sur l'Occident, sachez que vos peuples vous jugeront sur ce que vous pouvez construire, pas détruire. «Nourrir les corps affamés et les esprits voraces» A ceux qui s'accrochent au pouvoir par la corruption et la fraude, et en bâillonant les opinions dissidentes, sachez que vous êtes du mauvais côté de l'histoire, mais que nous vous tendrons la main si vous êtes prêts à desserrer votre étau. Aux habitants des pays pauvres, nous promettons de travailler à vos côtés pour faire en sorte que vos fermes prospèrent et que l'eau potable coule, de nourrir les corps affamés et les esprits voraces. Et à ces pays qui comme le nôtre bénéficient d'une relative abondance, nous disons que nous ne pouvons plus nous permettre d'être indifférents aux souffrances à l'extérieur de nos frontières, ni consommer les ressources planétaires sans nous soucier des conséquences. En effet, le monde a changé et nous devons évoluer avec lui. Lorsque nous regardons le chemin à parcourir, nous nous rappelons avec une humble gratitude ces braves Américains qui, à cette heure précise, patrouillent dans des déserts reculés et des montagnes éloignées. Ils ont quelque chose à nous dire aujourd'hui, tout comme les héros qui reposent (au cimetière national) à Arlington nous murmurent à travers les âges. Nous les honorons non seulement parce qu'ils sont les gardiens de notre liberté, mais parce qu'ils incarnent l'esprit de service, une disponibilité à trouver une signification dans quelque chose qui est plus grand qu'eux. Et à ce moment, ce moment qui définira une génération, c'est précisément leur esprit qui doit tous nous habiter. Quoi qu'un gouvernement puisse et doive faire, c'est en définitive de la foi et la détermination des Américains que ce pays dépend. C'est la bonté d'accueillir un inconnu lorsque cèdent les digues, le désintéressement d'ouvriers qui préfèrent travailler moins que de voir un ami perdre son emploi, qui nous permet de traverser nos heures les plus sombres. C'est le courage d'un pompier prêt à remonter une cage d'escalier enfumée, mais aussi la disponibilité d'un parent à nourrir un enfant, qui décide en définitive de notre destin. Les défis face à nous sont peut-être nouveaux. Les outils avec lesquels nous les affrontons sont peut-être nouveaux. Mais les valeurs dont notre succès dépend, le travail, l'honnêteté, le courage et le respect des règles, la tolérance et la curiosité, la loyauté et le patriotisme, sont anciennes. Elles sont vraies. Elles ont été la force tranquille du progrès qui a sous-tendu notre histoire. Ce qui est requis, c'est un retour à ces vérités. Ce qui nous est demandé maintenant, c'est une nouvelle ère de responsabilité, une reconnaissance, de la part de chaque Américain, que nous avons des devoirs envers notre pays et le monde, des devoirs que nous n'acceptons pas à contrecoeur mais saisissons avec joie, avec la certitude qu'il n'y a rien de plus satisfaisant pour l'esprit et qui définisse notre caractère, que de nous donner tout entier à une tâche difficile. C'est le prix, et la promesse, de la citoyenneté. C'est la source de notre confiance, savoir que Dieu nous appelle pour forger un destin incertain. «O Etats-Unis...» C'est la signification de notre liberté et de notre credo, c'est la raison pour laquelle des hommes, des femmes et des enfants de toutes les races et de toutes les croyances peuvent se réjouir ensemble sur cette magnifique esplanade, et pour laquelle un homme dont le père, il y a moins de 60 ans, n'aurait peut-être pas pu être servi dans un restaurant de quartier, peut maintenant se tenir devant vous pour prêter le serment le plus sacré. Donc marquons ce jour du souvenir, de ce que nous sommes et de la distance que nous avons parcourue. Aux temps de la naissance des Etats-Unis, dans les mois les plus froids, un petit groupe de patriotes s'est blotti autour de feux de camp mourants, au bord d'une rivière glacée. La capitale fut abandonnée. L'ennemi progressait. La neige était tachée de sang. Au moment où l'issue de notre révolution était la plus incertaine, le père de notre nation (George Washington, nldr) a donné l'ordre que ces mots soits lus: «Qu'il soit dit au monde du futur, qu'au milieu de l'hiver, quand seul l'espoir et la vertu pouvaient survivre, que la ville et le pays, face à un danger commun, (y) ont répondu». O Etats-Unis. Face à nos dangers communs, dans cet hiver de difficultés, rappelons-nous ces mots éternels. Avec espoir et courage, bravons une fois de plus les courants glacés, et supportons les tempêtes qui peuvent arriver. Qu'il soit dit aux enfants de nos enfants que lorsque nous avons été mis à l'épreuve, nous avons refusé de voir ce parcours s'arrêter, nous n'avons pas tourné le dos ni faibli. Et avec les yeux fixés sur l'horizon et la grâce de Dieu, nous avons continué à porter ce formidable cadeau de la liberté et l'avons donné aux générations futures.»

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    Lutte contre le Vih/sida

    L'efficacité du Linkpéyo pour un traitement curatif du mal confirmée par des spécialistes

    Malgré les réticences, critiques et attaques de toute sorte tendant à faire taire la réalité et décourager les efforts du tradithérapeute Philibert Dossou Yovo dans sa lutte farouche contre le Vih/sida, des voix s'élèvent déjà pour reconnaître et saluer les mérites du « Linkpéyo », la dernière invention du tradithérapeute pour l'éradication définitive de ce virus. Approchés, quelques uns de ceux-ci n'ont hésité à dire  tout le bien qu'ils pensent de ce produit ainsi que sur son efficacité.


    Après plus de dix neuf ans de recherche continue, le tradithérapeute Philibert Cossi Dossou Yovo a fini par mettre sur pied un ensemble de produits très efficaces dans le traitement curatif du Vih/sida. Il s'agit de l'assemblage « Linkpéyo », « Hangbidi » et le « Soladjakpin », pour respectivement guérir, prévenir et neutraliser le Vih/sida. Le traitement des malades du Sida ou des séropositifs avec l'ensemble de ces trois produits de la pharmacopée donne déjà des résultats plus qu'encourageant et le nombre de patients qui frappent pratiquement tous les jours la porte du tradithérapeute à la recherche de remède ne cessent de s'accroître. Ils sont en effet des milliers aussi bien au Bénin que partout ailleurs à travers le monde à expérimenter avec succès le traitement proposé par Philibert Dossou Yovo contre le Vih/Sida. Au nombre de ces médicaments, le Linkpéyo se trouve être aujourd'hui le plus sollicité vu le besoin et la densité croissante qui s'observe du côté des porteurs de ce virus qui prend de plus en plus de l'ampleur. Au vu de ce progrès certain et irréfutable, certains spécialistes de la médecine moderne, des agents de santé et même des docteurs en médecine ont confié dans l'anonymat leur surprise par rapport à l'efficacité du « Linkpéyo » découvert par le tradithérapeute Philibert Dossou Yovo en vu de lutter contre le Vih/sida. Ils sont aussi nombreux à avouer qu'ils orientent de temps en temps de façon discrète des patients vers le cabinet de monsieur Dossou-Yovo aux fins de leur traitement. Certains ont affirmé que le Linkpéyo dont il est question doit avoir un impact certain sur le virus du sida. Seulement, ils ne pourront pas légitimer l'efficacité de ce produit sans l'avis des organismes internationaux. Dans ce lot d'acteurs ayant intervenu se trouve aussi un responsable d'Ong qui lui aussi a préféré requis l'anonymat en déclarant suivre actuellement des patients qui sont sous traitement dans le cabinet de monsieur Dossou-Yovo et dont l'état de santé s'améliore depuis quelques mois. Ce dernier recommande que le tradithérapeute veuille reprendre les patients traités après la vacance de guérison, soit 3 ans après pour voir si le mal les a complètement quitté.

    Les directives du tradithérapeute Dossou-Yovo

    La maison de la feuille ne cesse de remplir. Comme tous les jours, déjà à 9 heures de ce vendredi 16 janvier 2009 où nous avons frappé à la porte de ce cabinet, les sièges installés dans le hall d'attente sont occupés. Le silence qui s'observe au niveau de chaque visiteur témoigne de la discrétion que chacun se fait autour du mal qui l'amène et dont le tradithérapeute sera le seul informé parce que détenant certainement les capacités de guérison de leurs maux. Il nous a fallu près 3 heures d'horloge avant de se faire recevoir par l'homme qui n'a pu faire que  renvoyer notre rendez-vous dans l'après-midi. « Je ne peux pas laisser les patients qui attendent depuis et qui sont venus de loin pour parler avec vous. Vous pouvez revenir le soir si vous voulez » termine le vieux en demandant au visiteur suivant de faire son entrée. A notre retour le soir alors qu'il sonnait déjà 18 heures, le portail était bloqué. « Revenez demain, s'il vous plaît » lance une voix féminine de l'intérieur de la maison. Il a fallu que nous annoncions que nous sommes des journalistes venus le matin pour que le portail nous soit ouvert. A l'entrée dans son cabinet, un panneau demande aux visiteurs de s'auto fouiller avant d'entrer. Nous sommes allés vite dans le vif du sujet en l'interrogeant sur les appréciations données par les autres acteurs intervenant dans les soins et sensibilisations sur le Sida, le chercheur en médecine traditionnelle M. Dossou-Yovo nous a déclaré qu'il a toujours donné 3 ans à ces patients qui ont su suivre ces conseils afin de revenir l'informer des derniers résultats obtenus des tests. Il a affirmé avoir l'habitude de revoir ces patients venir lui témoigner leur gratitude. Seulement, il revient sur ses conseils en déclarant défendre à ses patients la consommation de certains aliments comme le soja, le haricot, l'œuf, les croissants etc, qui ne favorisent pas le soulagement du malade et bien au contraire, cela aggrave le mal. L'homme se voit aujourd'hui soutenu et reconnu par le grand oscar de la santé qu'il vient de recevoir et qui s'ajoute à l'autorisation que lui a accordé (à lui seul) de traiter les malades du sida. C'est dire que les autorités et cadres de santé reconnaissent la pertinence de son produit dénommée Linkpéyo sur le sida. Seulement, les gens préfèrent se limiter là. Le chercheur ne s'en plaint d'ailleurs pas. « Je n'ai plus besoin d'un brevet. Les patients me font confiance et trouvent satisfaction. Je ne demande aucun moyen pour m'aider parce que la mafia est contre ce que je fais. Ce qui compte pour moi, c'est la guérison des patients pour le bien de l'humanité même. Malheureusement, cela gène des intérêts » remarque-t-il. malgré l'affluence qui s'observe dans son cabinet, l'homme reste disposer à recevoir et traiter les patients qui se pointent à lui. Et l'inquiétude est vite dissipée lorsque l'on se rend compte de la vigueur qui fait dire qu'il est plus jeune que son âge.

     


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  • Parakou, la troisième grande ville du Bénin bénéficiera dans 18 mois d'un hôpital universitaire de 100 lits, destiné à la recherche, à l'enseignement et aux soins. Le Président BONI YAYI a posé ce vendredi 16 janvier 2008, la première pierre et donné le premier coup de pioche qui consacre le démarrage des travaux de cet hôpital, fruit de la coopération sino-béninoise. Couvrant une superficie de 7120 m2, le coût de construction de l'hôpital Simanguru de Parakou est évalué à 3milliards75millions de francs CFA soit 42 millions700mille de yuans RMB, entièrement financé par la Chine. Selon le ministre de la santé, le professeur Issifou TAKPARA, la construction de cet hôpital vise à améliorer les conditions socio sanitaires des populations de la ville de Parakou et ses environs, en même temps qu'elle permettra de compléter le plateau technique existant et de mieux soulager les populations. L'ambassadeur de la République Populaire de CHINE près le Bénin, son excellence M.Geng Wembing, a salué l'excellente qualité des relations de coopération entre le Bénin et la Chine dont le secteur sanitaire reste le pilier. C'est pour cela qu'il a invité la partie béninoise à continuer à prêter concours et collaboration afin de faire aboutir chaque projet dans les meilleurs délais pour qu'ils puissent jouer le plus tôt leur plein rôle dans l'émergence du Bénin.

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