• L'Ige descend chez les Soglo

    L'inspection générale d'Etat a fait une descente hier dans les locaux de la mairie de cotonou. Koussey est allé informé les autorités de la mairie de cotonou que ces élements viendront dans les prochains faire des vérification sur la gestion de la mairie. cette descente suscite déjà des commentaires au niveau des populations et dans la presse qui y voit un acharnement du chef de l'etat Yayi Boni contre les Soglo.

    C. A.


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  • RENCONTRE ENTRE LA DIASPORA ET LE CHEF DE L’ÉTAT

     

    Pavillon Dauphine

    Paris le 25 Avril 2009

     

    « Un fiasco sur toute la ligne »

     

    La plupart de nos compatriotes ayant fait ce déplacement sont restés sur leur fin. La question qui était sur toutes les lèvres était de savoir ce qu’il faut retenir au final à travers les exposés « kilométriques » qu’on nous a présentés.

    Les organisateurs de ladite rencontre avaient peut être l’espoir de mieux faire que ce que les ténors des G & F avaient démontré, lors du lancement du livre de Monsieur Bruno Amoussou le 04/04/2009. Malheureusement, ce fût un échec éclatant, à tous les niveaux.

    Du point de vue organisation, l’animateur, en la personne du consul général, a fait preuves de graves manquements, en terme de présentation du programme, suivant un ordre chronologique. C’est en plein cœur des discussions que ce dernier nous annonce par exemple la présence des délégations venues de la Belgique et de l’Allemagne. Pour une rencontre de telle envergure, la préparation des fiches de présentations était nécessaire, à l’avance. Une autre maladresse plus grave de sa part est d’avoir oublié la présence d’un artiste comme Tohon Stan, qui, sur les lieux, était l’aîné parmi les autres artistes, tels que Richard Flash, Kiri Kanta…. En réalité, il est à l’image du chef de l’État, qui gère tout avec improvisation et selon son humeur, comme l’a eu à le souligner un membre influent du PCB. Un modérateur qui se permet de sommer le tout premier intervenant de vite poser sa question n’a aucune idée de son véritable rôle d’animateur ou de modérateur. Cette forme d’agressivité et d’intimidation de sa part ne fait que refléter cette manière brutale, dont font usage les acteurs et défenseurs du pouvoir actuel, pour traiter tout interlocuteur n’appartenant pas à leur famille politique. 

     

    Pour revenir sur le fond de l’exposé présenté par le Ministre Koukpaki, les Béninois avaient l’impression d’avoir en face d’eux un Ministre, qui s’est transformé en professeur d’économie. Un ministre qui a passé tout son temps à réciter son cours de macroéconomie. Il croyait avoir en face de lui des étudiants, venus prendre note sur les différentes théories dans le domaine de l’économie et des finances. Le plus surprenant est la façon dont il a esquivé les dossiers d’État les plus sensibles et les plus scandaleux : « la question des GSM est réglée ! », « le dossier de l’escorte, on s’y est attaqué ! », « Le coton ? Le secteur est assaini, avec la création de Sodeco ! » ; C’est une manière de dire : circulez chers compatriotes de la Diaspora, il n’y a rien à dire !!

    Au-delà de ses qualités de technocrate, il devra également, à l’avenir, faire l’effort d’être moins répétitif dans ses analyses.

     

    Pour ce qui est de l’animation musicale, nous avons assisté à un flash back de Richard Flash, pour qui, les Béninois ont une grande admiration. Cependant, notre star numéro 1 du zouk béninois devrait se garder de choisir des chansons qui renforcent la division du clivage politique. A travers ce qu’il dit dans sa chanson, c’est qu’il y a d’un côté le camp des « bons et amis », en l’occurrence le gouvernement et de l’autre côté celui des « mauvais et ennemis ». Ces derniers refusent de reconnaître les bonnes prouesses des « bons », par conséquent, d’admettre la beauté de leurs tenues vestimentaires !!!. De grâce, qu’il ne tombe pas dans ce piège du pouvoir qui consiste à distribuer de cartons rouges à tous ceux qui font des contre-propositions. Que notre Richard Flash sache que nous sommes en politique et non dans la vie quotidienne !

     

    Quant à Albert Tévoédjrè, qui a été « copieusement » hué au début de son allocution, il est le symbole de l’intellectuel, l’homme politique, certes, confirmé, mais errant.

     

    L’intervention du chef de l’État a été la plus creuse, aussi bien sur le fond que sur la forme. Il commence par la phrase suivante : «  je n’ai pas un message particulier, car le message de Monsieur Koukpaki est le mien ! » Passons maintenant aux choses ridicules ! Au fait, la Diaspora a  assisté à une messe de dimanche, doublée d’un outrage frappant du principe de la laïcité.

    En clair, les Béninois de la Diaspora ont  écouté un Président de République peu convainquant qui a passé tout son temps à répéter son homélie. Un Président incapable de répondre aux préoccupations concrètes de cette Diaspora. Un Président qui était pressé d’aller assister à la finale de la coupe de ligue française, au lieu d’écouter les Béninois.

    Toute la Diaspora était déçue , même les amis de l'association de soutien à YAYI Boni , « Convergence »avaient du mal à défendre leur poulain.

    Les 30 questions poser au Chef de l'Etat ont été purement et simplement esquivé.

    Par contre , il y a une bonne note  -on prendre comme on veut- ,le Chef d'Etat nous a révélé ses talents de pasteur évangélique.

    Une copie à revoir simplement et une fois encore , la disapora est deçue de son Président Docteur.

     FIASCO SUR TOUTE LA LIGNE !

     

    Que Dieu Bénisse le Bénin!

     

    CVRA FRANCE

    http://cvrabenin.blogspot.com

     

     

     

     

       


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    Gestion aventureuse de la  société de gestion des marchés autonomes du Bénin

    Le Directeur générale de la SOGEMA vomit par son personnel

    (Qui exige son limogeage immédiat par Boni Yayi)

     

    Le torchon brûle entre le nouveau directeur général de la Sogéma  et le collectif des agents de la société. Ce climat délétère de travail qui a pris racine dans la société, au lendemain de l’entrée en scène de Joseph Tamégnon, risque de replonger la Sogéma dans une déliquescence totale. Si l’on n’y prend garde !

     

    En effet, les attentes d’un lendemain meilleur nées de la nomination de Joseph Tamégnon à la tête de la Sogéma par le chef de l’Etat, se révèlent aujourd’hui être  déçues, après seulement quelques mois de gestion.

    En marge de  l’absence remarquable  de dialogue entre le directeur général et son adjoint, élargi aux différents chefs services et chefs divisions  de la société,  s’ajoutent, les conditions abominables de travail que vit le personnel. En effet, suivant des sources échappées de la société, la Sogéma ne disposerait à ce jour,  d’aucun texte fiable qui le régisse au plan juridique ; celui sur lequel s’arc-boute le nouveau directeur général serait caduque et ne cadrerait nullement avec les exigences que requiert la gestion moderne d’une société à vision commerciale comme la Sogéma. A ceci, s’ajoute l’absence d’un statut fiable de fonctionnement ainsi qu’une convention collective digne de ce nom.

    Dans un autre chapitre, il faut remarquer que depuis sa prise de fonction, soit le 18 juillet 2007, le directeur général de la Sogéma, contrairement à tous ses prédécesseurs, n’a jamais pu faire à ses directeurs techniques, le point d’exécution du budget de la société ;  une situation qui jetterait du doute sur la gestion qu’il  fait des ressources financières de la société.

    Par ailleurs, les fonds prélevés sur le salaire de chaque  agent de la société et destinés à être versé à la Caisse nationale de sécurité sociale n’ont, depuis plusieurs années jamais été utilisés à cette fin. Il s’agit concrètement d’un des points fondamentaux de revendication des syndicats de la société. Si l’autorité de la Sogéma a promis régler ce point majeur et très sensible des revendications des syndicats de la Sogéma en restituant à la caisse nationale de sécurité sociale, l’argent des agents indûment gardé par devers elle, force est de constater qu’à ce jour rien n’a été fait dans ce sens. Pire, les nombreux mois d’arriérés de salaire occasionnés par le classement des travailleurs de la société suivant des grilles salariales fantaisistes, n’ont pu  être réglés, contrairement à la promesse du directeur de le faire au plus tard, à la fin du mois de juillet. A tout ceci s’ajoutent les conditions archaïques de travail auxquelles est soumis le personnel de la société,  caractérisé par un manque criard de bureaux de travail. En effet, il n’est pas rare de trouver plus de 30 agents agglutinés  dans un seul  bureau qui, en toute logique,  devait en  contenir 4 au maximum. Cette contiguïté dans laquelle travaillent les agents, amoindrie du coup l’efficacité que l’on pourrait attendre d’eux. Par ailleurs, le manque caractéristique de toilettes fait partie des points de discorde entre la direction générale de la Sogéma à son personnel ; les quelques rares toilettes qui existent sont dans un état de délabrement avancé.  

    Le silence du directeur général de la Sogéma, face à une situation aussi dégradée que vit son administration, n’est-il pas symptomatique du manque de vision qui caractérise sa gestion de la société ? Tout porte à croire que le nouvel homme fort de la Sogéma est dépassé par les événements  et donc, ne sait plus où mettre de la tête.

    Une chose est certaine, c’est que  les agents de la Sogéma, secondés par les différents directeurs techniques sont unanimes sur l’inaptitude de leur autorité de tutelle à faire face aux problèmes internes ainsi qu’aux difficultés des usagers du marché. Ils  invitent le chef de l’Etat à leur proposer un cadre plus expérimenté, capable de cerner et de régler les problèmes récurrents qui minent la Sogéma. Avant qu’il ne soit trop tard.

     


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    Le Ministre de la Communication et des Technologies de l’Information et de la Communication informe les professionnels des médias, candidats au concours d’entrée à l’Ecole Nationale d’Administration et de Magistrature, option Journalisme, que le concours se déroulera le samedi 11 avril 2009 à l’école Primaire Publique de Gbégamey à partir de 07 heures précises.

     

    Les épreuves porteront sur :

    -         la culture générale, durée : 02 heures

    -         la synthèse de dépêches, durée : 04 heures.

     

    La liste des candidats présélectionnés peut être consultée à la Direction Générale du Développement des Médias à côté du nouveau cabinet du Ministère, à la station régionale de l’Office de Radiodiffusion et Télévision du Bénin (ORTB) à Parakou ainsi que dans les bureaux régionaux de l’Agence Bénin Presse (ABP).

    Les candidats devront se munir d’une carte nationale d’identité ou d’un passeport en cours de validité.

     

     

     

    Pour le Ministre et PD

    Le Directeur de Cabinet

     

     

     

    René BEWA

     


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  • Cambriolage du siège de la Renaissance du Bénin

    Candide Azannaï accuse la Rb et Lehady Soglo

    Le président du parti restaurer l'Espoir Candide Azannaï a eu avant hier la dent dure contre la rb au sujet du cambriolage du siège de ce parti politique. l'ancien député a dénoncé un montage grotesque et dit que le gouvernement n'est pas mêlé à ce coup.


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