• Gestion aventureuse de la société de gestion des marchés autonomes du Bénin: Le Directeur générale de la SOGEMA vomit par son personnel

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    Gestion aventureuse de la  société de gestion des marchés autonomes du Bénin

    Le Directeur générale de la SOGEMA vomit par son personnel

    (Qui exige son limogeage immédiat par Boni Yayi)

     

    Le torchon brûle entre le nouveau directeur général de la Sogéma  et le collectif des agents de la société. Ce climat délétère de travail qui a pris racine dans la société, au lendemain de l’entrée en scène de Joseph Tamégnon, risque de replonger la Sogéma dans une déliquescence totale. Si l’on n’y prend garde !

     

    En effet, les attentes d’un lendemain meilleur nées de la nomination de Joseph Tamégnon à la tête de la Sogéma par le chef de l’Etat, se révèlent aujourd’hui être  déçues, après seulement quelques mois de gestion.

    En marge de  l’absence remarquable  de dialogue entre le directeur général et son adjoint, élargi aux différents chefs services et chefs divisions  de la société,  s’ajoutent, les conditions abominables de travail que vit le personnel. En effet, suivant des sources échappées de la société, la Sogéma ne disposerait à ce jour,  d’aucun texte fiable qui le régisse au plan juridique ; celui sur lequel s’arc-boute le nouveau directeur général serait caduque et ne cadrerait nullement avec les exigences que requiert la gestion moderne d’une société à vision commerciale comme la Sogéma. A ceci, s’ajoute l’absence d’un statut fiable de fonctionnement ainsi qu’une convention collective digne de ce nom.

    Dans un autre chapitre, il faut remarquer que depuis sa prise de fonction, soit le 18 juillet 2007, le directeur général de la Sogéma, contrairement à tous ses prédécesseurs, n’a jamais pu faire à ses directeurs techniques, le point d’exécution du budget de la société ;  une situation qui jetterait du doute sur la gestion qu’il  fait des ressources financières de la société.

    Par ailleurs, les fonds prélevés sur le salaire de chaque  agent de la société et destinés à être versé à la Caisse nationale de sécurité sociale n’ont, depuis plusieurs années jamais été utilisés à cette fin. Il s’agit concrètement d’un des points fondamentaux de revendication des syndicats de la société. Si l’autorité de la Sogéma a promis régler ce point majeur et très sensible des revendications des syndicats de la Sogéma en restituant à la caisse nationale de sécurité sociale, l’argent des agents indûment gardé par devers elle, force est de constater qu’à ce jour rien n’a été fait dans ce sens. Pire, les nombreux mois d’arriérés de salaire occasionnés par le classement des travailleurs de la société suivant des grilles salariales fantaisistes, n’ont pu  être réglés, contrairement à la promesse du directeur de le faire au plus tard, à la fin du mois de juillet. A tout ceci s’ajoutent les conditions archaïques de travail auxquelles est soumis le personnel de la société,  caractérisé par un manque criard de bureaux de travail. En effet, il n’est pas rare de trouver plus de 30 agents agglutinés  dans un seul  bureau qui, en toute logique,  devait en  contenir 4 au maximum. Cette contiguïté dans laquelle travaillent les agents, amoindrie du coup l’efficacité que l’on pourrait attendre d’eux. Par ailleurs, le manque caractéristique de toilettes fait partie des points de discorde entre la direction générale de la Sogéma à son personnel ; les quelques rares toilettes qui existent sont dans un état de délabrement avancé.  

    Le silence du directeur général de la Sogéma, face à une situation aussi dégradée que vit son administration, n’est-il pas symptomatique du manque de vision qui caractérise sa gestion de la société ? Tout porte à croire que le nouvel homme fort de la Sogéma est dépassé par les événements  et donc, ne sait plus où mettre de la tête.

    Une chose est certaine, c’est que  les agents de la Sogéma, secondés par les différents directeurs techniques sont unanimes sur l’inaptitude de leur autorité de tutelle à faire face aux problèmes internes ainsi qu’aux difficultés des usagers du marché. Ils  invitent le chef de l’Etat à leur proposer un cadre plus expérimenté, capable de cerner et de régler les problèmes récurrents qui minent la Sogéma. Avant qu’il ne soit trop tard.

     


  • Commentaires

    1
    Mardi 21 Avril 2009 à 12:22
    un problème au début
    attention vous avez un problème au début
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