Lutte contre le Vih/sida
L'efficacité du Linkpéyo pour un traitement curatif du mal confirmée par des spécialistes
Malgré les réticences, critiques et attaques de toute sorte tendant à faire taire la réalité et décourager les efforts du tradithérapeute Philibert Dossou Yovo dans sa lutte farouche contre le Vih/sida, des voix s'élèvent déjà pour reconnaître et saluer les mérites du « Linkpéyo », la dernière invention du tradithérapeute pour l'éradication définitive de ce virus. Approchés, quelques uns de ceux-ci n'ont hésité à dire tout le bien qu'ils pensent de ce produit ainsi que sur son efficacité.
Après plus de dix neuf ans de recherche continue, le tradithérapeute Philibert Cossi Dossou Yovo a fini par mettre sur pied un ensemble de produits très efficaces dans le traitement curatif du Vih/sida. Il s'agit de l'assemblage « Linkpéyo », « Hangbidi » et le « Soladjakpin », pour respectivement guérir, prévenir et neutraliser le Vih/sida. Le traitement des malades du Sida ou des séropositifs avec l'ensemble de ces trois produits de la pharmacopée donne déjà des résultats plus qu'encourageant et le nombre de patients qui frappent pratiquement tous les jours la porte du tradithérapeute à la recherche de remède ne cessent de s'accroître. Ils sont en effet des milliers aussi bien au Bénin que partout ailleurs à travers le monde à expérimenter avec succès le traitement proposé par Philibert Dossou Yovo contre le Vih/Sida. Au nombre de ces médicaments, le Linkpéyo se trouve être aujourd'hui le plus sollicité vu le besoin et la densité croissante qui s'observe du côté des porteurs de ce virus qui prend de plus en plus de l'ampleur. Au vu de ce progrès certain et irréfutable, certains spécialistes de la médecine moderne, des agents de santé et même des docteurs en médecine ont confié dans l'anonymat leur surprise par rapport à l'efficacité du « Linkpéyo » découvert par le tradithérapeute Philibert Dossou Yovo en vu de lutter contre le Vih/sida. Ils sont aussi nombreux à avouer qu'ils orientent de temps en temps de façon discrète des patients vers le cabinet de monsieur Dossou-Yovo aux fins de leur traitement. Certains ont affirmé que le Linkpéyo dont il est question doit avoir un impact certain sur le virus du sida. Seulement, ils ne pourront pas légitimer l'efficacité de ce produit sans l'avis des organismes internationaux. Dans ce lot d'acteurs ayant intervenu se trouve aussi un responsable d'Ong qui lui aussi a préféré requis l'anonymat en déclarant suivre actuellement des patients qui sont sous traitement dans le cabinet de monsieur Dossou-Yovo et dont l'état de santé s'améliore depuis quelques mois. Ce dernier recommande que le tradithérapeute veuille reprendre les patients traités après la vacance de guérison, soit 3 ans après pour voir si le mal les a complètement quitté.
Les directives du tradithérapeute Dossou-Yovo
La maison de la feuille ne cesse de remplir. Comme tous les jours, déjà à 9 heures de ce vendredi 16 janvier 2009 où nous avons frappé à la porte de ce cabinet, les sièges installés dans le hall d'attente sont occupés. Le silence qui s'observe au niveau de chaque visiteur témoigne de la discrétion que chacun se fait autour du mal qui l'amène et dont le tradithérapeute sera le seul informé parce que détenant certainement les capacités de guérison de leurs maux. Il nous a fallu près 3 heures d'horloge avant de se faire recevoir par l'homme qui n'a pu faire que renvoyer notre rendez-vous dans l'après-midi. « Je ne peux pas laisser les patients qui attendent depuis et qui sont venus de loin pour parler avec vous. Vous pouvez revenir le soir si vous voulez » termine le vieux en demandant au visiteur suivant de faire son entrée. A notre retour le soir alors qu'il sonnait déjà 18 heures, le portail était bloqué. « Revenez demain, s'il vous plaît » lance une voix féminine de l'intérieur de la maison. Il a fallu que nous annoncions que nous sommes des journalistes venus le matin pour que le portail nous soit ouvert. A l'entrée dans son cabinet, un panneau demande aux visiteurs de s'auto fouiller avant d'entrer. Nous sommes allés vite dans le vif du sujet en l'interrogeant sur les appréciations données par les autres acteurs intervenant dans les soins et sensibilisations sur le Sida, le chercheur en médecine traditionnelle M. Dossou-Yovo nous a déclaré qu'il a toujours donné 3 ans à ces patients qui ont su suivre ces conseils afin de revenir l'informer des derniers résultats obtenus des tests. Il a affirmé avoir l'habitude de revoir ces patients venir lui témoigner leur gratitude. Seulement, il revient sur ses conseils en déclarant défendre à ses patients la consommation de certains aliments comme le soja, le haricot, l'œuf, les croissants etc, qui ne favorisent pas le soulagement du malade et bien au contraire, cela aggrave le mal. L'homme se voit aujourd'hui soutenu et reconnu par le grand oscar de la santé qu'il vient de recevoir et qui s'ajoute à l'autorisation que lui a accordé (à lui seul) de traiter les malades du sida. C'est dire que les autorités et cadres de santé reconnaissent la pertinence de son produit dénommée Linkpéyo sur le sida. Seulement, les gens préfèrent se limiter là. Le chercheur ne s'en plaint d'ailleurs pas. « Je n'ai plus besoin d'un brevet. Les patients me font confiance et trouvent satisfaction. Je ne demande aucun moyen pour m'aider parce que la mafia est contre ce que je fais. Ce qui compte pour moi, c'est la guérison des patients pour le bien de l'humanité même. Malheureusement, cela gène des intérêts » remarque-t-il. malgré l'affluence qui s'observe dans son cabinet, l'homme reste disposer à recevoir et traiter les patients qui se pointent à lui. Et l'inquiétude est vite dissipée lorsque l'on se rend compte de la vigueur qui fait dire qu'il est plus jeune que son âge.