Le président Boni yayi souffre le chaud et le froid quant à la gestion des affaires d'Etat. Les différents secteurs d'activité fonctionnent au ralenti du fait des grèves perlées des enseignants, du corps médicales et d'autres secteurs professionnels ; la vie est chère et le panier de la menagère s'effrite. Il est difficile aujourd'hui de manger du poisson. Les opérateurs économiques se plaignent. Les syndicats menacent toujours de paralyser toute l'administration. Le président de la république demande aux acteurs sociaux de prendre patience. Hier, les négociations entre les syndicats et le gouvernement ont achoppé. Le premier magistrat du pays est face à la gestion de nombreux problèmes.
christophe D. ASSOGBA