• 2ème édition du concours sur la tuberculose

    Le Pnt prime des journalistes

    (Eléonore Djègui de l’Autre Quotidien primée)

    Le programme national contre la tuberculose a remise officiellement samedi dernier les prix aux  lauréats de la deuxième édition du concours  des meilleures productions de presse sur la tuberculose. C’était à la Ccib  en présence des autorités du ministère de la santé et de la communication.

    Les lauréats du concours sur la tuberculose organisé par la programme national contre la tuberculose sont connus et ont reçus leurs prix.  Au total 8 prix en espèce et 12 prix en nature ont été remis aux lauréats du concours. Les lauréats proviennent des organes de presse comme Fraternité, l’Autre Quotidien,  l’Ortb, l’événement Précis, Radio Topka, Radio Immaculé Conception, Capp Fm. Dans son mot de bienvenue, le coordonnateur du Pnt, le professeur Gninafon a remercié les journalistes pour leur participation à ce concours qui vise à sensibiliser les populations sur cette maladie. A son tour le directeur de cabinet du ministère de la Communication rené Bewa a estimé que la presse doit rester au service du développement et parce que la tuberculose n’a ni race ni religion, la presse a le devoir de sensibiliser les populations sur cette maladie. La directrice de cabinet du ministère de la santé a abondé dans le même a souhaité que la presse apporte toujours  son soutien au secteur de la santé. Un souhait que les lauréats ont promis aux organisateurs  du concours.

     


    votre commentaire
  • La Lépi est votée. Les députés ont adoptée la loi de mise en œuvre du projet. C’est presque à la majorité des membres du parlement que le projet Lépi peut aujourd’hui être mis en route pour le bonheur des élections au Bénin et de la démocratie béninoise. Depuis 1990, les élections au Bénin ont souffert de beaucoup de maux : fraudes divers.  En 2001Christine Muraté a qualifié dans son reportage sur RFI la présidentielle de « scrutin falot » pour dire que cette élection a été entaché de nombreuses irrégularités. Les nombreux rapports des organisations de la société civile qui ont couvert les élections au Bénin depuis l’avènement du Renouveau démocratique ont relevé de nombreuses fraudes et irrégularités dans l’organisation des scrutins.  Personne ne peut dire que les élections au Bénin ont été toujours transparentes. Et c’est  le souci de la transparence qui amené le gouvernement de Mathieu Kérékou a initié le projet Lépi. L’Etat étant une continuité, le Dr Boni Yayi a hérité de ce projet et a tenu à le réaliser. Je crois qu’il va le réaliser puis qu’il est décidé et a la volonté de doter son pâys d’outils électoraux fiables pour éviter désormais les contestations lors des élections comme c’est le cas dans de nombreux pays africains. La Lépi sera réaliser et il faut féliciter les élus du peuple et le gouvernement. Il faut aussi rendre hommage à l’ancien ministre Alain Adihou qui a balisé le terrain pour la réalisation de ce projet qui va permettre de fiabiliser le fichier électoral du Bénin pendant de longues années. Mais la mise ne œuvre de la Lépi demande la participation de tout le monde, de tout le peuple béninois. Puisque les données qui seront recueillis et traitées seront fait par des hommes et la fiabilité dépend des hommes qui vont conduite le projet des populations sur le terrain. le vote de la loi n’est qu’une étape importante du processus. Le gros lot du travail est l’engagement du peuple, la mobilisation générale autour de la Lépi afin qu’elle contribue à l’amélioration de notre système démocratique.


    votre commentaire
  • Performance du port autonome de Cotonou

    La mission de mise en place d’un système de management intégré qualité, sécurité et environnement au Port autonome de Cotonou lancée

    Le directeur adjoint de cabinet du ministère de l’économie maritime Achille Dessou a procédé hier au lancement officiel de la mission de mise en place d’un système de management intégré qualité, sécurité et environnement au Port autonome de Cotonou. C’était hier au conseil national des chargeurs du Bénin en présence du Directeur Général du Cabinet industry consulting M. Karim Labbene.

    La mission de mise en place d’un système de management intégré : qualité, sécurité et environnement au Port autonome de Cotonou s’inscrit dans la droite ligne de la lettre de mission du ministre de l’économie maritime Issa Badarou Soulé au directeur général du Port de Cotonou Cyriaque Atti-Mama le 17 mars dernier et du plan d’action confectionné par le Dg/Port. Selon le Dg Cyriaque Atti-Mama, l’ouverture du Port autonome de Cotonou au commerce international impose des normes à respecter. D’après ses explications, la nécessité de faire du port de Cotonou le poumon de l’économie béninoise et de le rendre plus compétitif et d’en faire un « label de qualité » dans la sous région reste déterminant pour les projets de certification Qualité-Sécurité-environnement. En commandant cette mission, le port veut se conformer aux normes et standards internationaux et par ricochet le positionner comme une plate-forme logistique performante sur le plan régional. Il s’agit de revoir et de rendre plus souples les procédures internes de gestion de l’entreprise pour mieux atteindre les exigences de satisfaction de la clientèle. Le directeur général du cabinet commis pour la mission a abondé dans le même sens que le Dg/port. «Dans un contexte caractérisé par la mondialisation de l »économie, l’ouverture des frontières et la création des zones de libre échange, l’économie béninoise se doit de s’adapter et d’adhérer aux changements entrepris », a affirmé M. Karim Labbene. Prenant la parole, le Dac du ministère de l’économie maritime a laissé entendre que le port de Cotonou ne saurait remplir la mission a elle assignée sa   ns se conformer aux normes prévues sur la sphère mondiale. Et c’est dans ce sens que le gouvernement du Dr Boni Yayi a initié cette mission. Il a invité les travailleurs de la chaînes portuaires a accompagné le processus afin que la mission qui a été effectuée dans de nombreux pays de l’Afrique de l’ouest soit concluante et que le port de Cotonou retrouve une place de choix parmi les ports ouest africains.


    votre commentaire
  •  

     

     

    Amélioration des conditions de vie des travailleurs

    Que devient le programme de 10.000 logements économiques ?

     Le Bénin a enrégisté plusieurs programmes et projets de construction de logements sociaux. Depuis les indépendances jusqu’à ce jour plusieurs programmes immobiliers ont été initiés sur toute l’étendue du territoire national.

     Pendant la période  révolutionnaire, on a connu un certain nombre dont les expérimentations des logements ou panneaux « sandwich » préfabrqués ou en matériaux composite.

    Tous ces programmes  de construction de logements sociaux n’ont pas permis de mettre à la disposition des populations  des habitations à moindre coût. C’est d’ailleurs l’échec de ces projets de logements sociaux  qui a créé la  multiplication des quartiers spontanés dans les  grandes agglomérations ou villes. Aujourd’hui, les mairies et l’Etat fait face à des problèmes de bidonvilles et il est quasi difficile de déloger certaines populations.

    C’est pour trouver des solutions à cet épineux des problèmes de bidonvilles où vivent des populations pauvres que la décision  du gouvernement du Dr Boni Yayi prise  à Parakou lors du Conseil des Ministres précédant la célébration de la fête de l’indépendance était salutaire et tout le peuple béninois en son temps avait applaudi.

    Au terme des festivités du 1er août 2008,  le Ministre  de l’Urbanisme François Noudégbessi  a promis mettre à la disposition des travailleurs béninois du secteur public et privé 2100 logements économiques à Porto-Novo, Cotonou, Parakou et Lokossa. Huit mois après le lancement de ce programme, un seul chantier est en activité.  Il s’agit des logements économiques de Lokossa. Qu’en est-il des autres localités du pays où la mise en œuvre de ce projet est prévue?

    A quand le démarrage des travaux des logements sociaux économiques de Parakou et de  Porto-Novo? Des missions techniques  du ministère de l’Urbanisme ont rendu visite ces derniers jours aux maires de ces localités et il est prévu le démarrage des travaux pour la première semaine de mai 2009. les populations attendent que le ministre François Noudégbessi les surprend  afin de tenir le programme dans le temps notamment fin décembre 2009

     

     


    votre commentaire
  • Les députés ont  adoptée la loi sur la Liste électorale permanente informatisée (Lépi). Le moins  que l’on puisse dire maintenant est qu’on libère l’un des artisans de ce projet l’ancien ministre Alain Adihou en prison depuis plus de deux ans.

     

    Un des artisans du projet de Liste électorale permanente informatisée ( Lépi) est en prison. C’est l’ancien ministre  de Kérékou Alain Adihou. Ce citoyen  engagé à un moment donné a doté le pays d’une Lépi pour une bonne organisation de la présidentielle de  2006 et ainsi toutes les élections au Bénin croupi à la prison civile de Cotonou depuis plus de deux ans. Le mobile de l’arrestation de Adihou et son incarcération est inconnu des populations béninoises mais dans les milieux politiques on avance qu’il mérité ce sort parce qu’il a manqué du respect pour les députés de la quatrième législature. Qu’à cela ne tienne. Mais tout ce que l’on peut retenir c’est que Alain Adihou a fait un important travaille dans la mise en œuvre de la Lepi. Il a eu le mérite de sillonner tout le Bénin et d’expliquer aux populations les avantages de la mise en œuvre de la Lépi pour la transparence des élections  au Bénin. Grâce à Alain Adihou tout le monde  sur toute l’étendue du territoire national connaît le projet Lepi ou a entendu parler de ce projet. Les acteurs qui vont mettre en œuvre ce projet n’auront plus de problème puisque Alain Adihou a balisé le terrain. c’est en raison de cela  que de nombreuses personnes interrogées au lendemain du vote de la loi Lépi souhaitent qu’on accordé à l’ancien ministre Alain Adihou la liberté afin qu’il puisse apporter s’il en a encore la volonté son expertise dans la réalisation de la Lépi, un projet chère à Mathieu Kérékou comme au p^résident Boni Yayi qui a fait de cela son cheval de bataille pour le rayonnement de la démocratie béninoise.


    votre commentaire